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Moliere To Vicky Walker: “No, My Dear, Age Brings Everything!”

My favourite Molière play is ‘Le Misanthrope’, which I read at the age of 16 and was entranced by the wit of Célimène, the beautiful young Vicky Walker of her day, in response to the prudish old trout, Arsinoë, who is a terrible warning to all middle-aged women.

The plot reflects events at the court of Moliere’s contemporary, Louis XIV, who had had a succession of mistresses, including the delectable Madame de Montespan (left). In old age, however, he ended up with Madame de Maintenon (or ‘Madame de Maintenant‘ as she was dubbed).

Célimène is a flirt. Arsinoë, the older woman, is jealous but explains this, even to herself , as the promptings of her duty to warn Célimène of her immoral behaviour. The text is set out below, but for the faint-hearted, the gist is this:

Arsinoë  says she has come to offer advice: Célimène must cease courting the attentions of young men, for people are talking about her.

“Not that I believe that decency is in any way outraged,” she says. “Heaven forbid that I should harbour such a thought! But the world is so ready to give credit to the faintest shadow of a crime. . .”

Célimène thanks her for the advice, saying that, far from being offended she will return the favour by passing on what people are saying about Arsinoë’s “prudishness and too fervent zeal . . . your eternal conversations on wisdom and honour, your mincings and mouthings at the slightest shadows of indecency . . . that lofty esteem in which you hold yourself, and those pitying glances which you cast upon all” . The people concluded that Arsinoë should pay less attention to the actions of others and more to her own.

She continues (passage in bold)

Madame, I think one can praise or blame everything.
And everyone is right, according to their age or taste.
There is a season for gallantry.
There is one also for prudery.
One may, for policy reasons, take the latter part
When the bloom of our youth has faded
That certainly serves to cover one’s lack of charms.
I do not say one day I will not follow you.
Age brings everything, and it is not the time,
Madame, as is well known, to be a prude at twenty.

l’ âge amènera tout, et ce n’ est pas le temps,
madame, comme on sait, d’ être prude à vingt ans.


ACTE III , SCENE IV .

Célimène.
Ah ! Quel heureux sort en ce lieu vous amène ?
Madame, sans mentir, j’ étois de vous en peine.
Arsinoé.
Je viens pour quelque avis que j’ ai cru vous devoir.
Célimène.
Ah, mon Dieu ! Que je suis contente de vous voir !
Arsinoé.
Leur départ ne pouvoit plus à propos se faire.
Célimène.
Voulons-nous nous asseoir ?
Arsinoé.
Il n’ est pas nécessaire,
madame. L’ amitié doit surtout éclater
aux choses qui le plus nous peuvent importer ;
et comme il n’ en est point de plus grande importance
que celles de l’ honneur et de la bienséance,
je viens, par un avis qui touche votre honneur,
témoigner l’ amitié que pour vous a mon coeur.
Hier j’ étois chez des gens de vertu singulière,
où sur vous du discours on tourna la matière ;
et là, votre conduite, avec ses grands éclats,
madame, eut le malheur qu’ on ne la loua pas.
Cette foule de gens dont vous souffrez visite,
votre galanterie, et les bruits qu’ elle excite
trouvèrent des censeurs plus qu’ il n’ auroit fallu,
et bien plus rigoureux que je n’ eusse voulu.
Vous pouvez bien penser quel parti je sus prendre :
je fis ce que je pus pour vous pouvoir défendre,
je vous excusai fort sur votre intention,
et voulus de votre âme être la caution.
Mais vous savez qu’ il est des choses dans la vie
qu’ on ne peut excuser, quoiqu’ on en ait envie ;
et je me vis contrainte à demeurer d’ accord
que l’ air dont vous viviez vous faisoit un peu tort,
qu’ il prenoit dans le monde une méchante face,
qu’ il n’ est conte fâcheux que partout on n’ en fasse,
et que, si vous vouliez, tous vos déportements
pourroient moins donner prise aux mauvais jugements.
Non que j’ y croie, au fond, l’ honnêteté blessée :
me préserve le ciel d’ en avoir la pensée !
Mais aux ombres du crime on prête aisément foi,
et ce n’ est pas assez de bien vivre pour soi.
Madame, je vous crois l’ âme trop raisonnable,
pour ne pas prendre bien cet avis profitable,
et pour l’ attribuer qu’ aux mouvements secrets
d’ un zèle qui m’ attache à tous vos intérêts.
Célimène.
Madame, j’ ai beaucoup de grâces à vous rendre :
un tel avis m’ oblige, et loin de le mal prendre,
j’ en prétends reconnoître, à l’ instant, la faveur,
par un avis aussi qui touche votre honneur ;
et comme je vous vois vous montrer mon amie
en m’ apprenant les bruits que de moi l’ on publie,
je veux suivre, à mon tour, un exemple si doux,
en vous avertissant de ce qu’ on dit de vous.
En un lieu, l’ autre jour, où je faisois visite,
je trouvai quelques gens d’ un très-rare mérite,
qui, parlant des vrais soins d’ une âme qui vit bien,
firent tomber sur vous, madame, l’ entretien.
Là, votre pruderie et vos éclats de zèle
ne furent pas cités comme un fort bon modèle :
cette affectation d’ un grave extérieur,
vos discours éternels de sagesse et d’ honneur,
vos mines et vos cris aux ombres d’ indécence
que d’ un mot ambigu peut avoir l’ innocence,
cette hauteur d’ estime où vous êtes de vous,
et ces yeux de pitié que vous jetez sur tous,
vos fréquentes leçons, et vos aigres censures
sur des choses qui sont innocentes et pures,
tout cela, si je puis vous parler franchement,
madame, fut blâmé d’ un commun sentiment.
à quoi bon, disoient-ils, cette mine modeste,
et ce sage dehors que dément tout le reste ?
Elle est à bien prier exacte au dernier point ;
mais elle bat ses gens, et ne les paye point.
Dans tous les lieux dévots elle étale un grand zèle ;
mais elle met du blanc et veut paroître belle.
Elle fait des tableaux couvrir les nudités ;
mais elle a de l’ amour pour les réalités.
Pour moi, contre chacun je pris votre défense,
et leur assurai fort que c’ étoit médisance ;
mais tous les sentiments combattirent le mien ;
et leur conclusion fut que vous feriez bien
de prendre moins de soin des actions des autres,
et de vous mettre un peu plus en peine des vôtres ;
qu’ on doit se regarder soi-même un fort long temps,
avant que de songer à condamner les gens ;
qu’ il faut mettre le poids d’ une vie exemplaire
dans les corrections qu’ aux autres on veut faire ;
et qu’ encor vaut-il mieux s’ en remettre, au besoin,
à ceux à qui le ciel en a commis le soin.
Madame, je vous crois aussi trop raisonnable,
pour ne pas prendre bien cet avis profitable,
et pour l’ attribuer qu’ aux mouvements secrets
d’ un zèle qui m’ attache à tous vos intérêts.
Arsinoé.
à quoi qu’ en reprenant on soit assujettie,
je ne m’ attendois pas à cette repartie,
madame, et je vois bien, par ce qu’ elle a d’ aigreur,
que mon sincère avis vous a blessée au coeur.
Célimène.
Au contraire, madame ; et si l’ on étoit sage,
ces avis mutuels seroient mis en usage :
on détruiroit par là, traitant de bonne foi,
ce grand aveuglement où chacun est pour soi.
Il ne tiendra qu’ à vous qu’ avec le même zèle
nous ne continuions cet office fidèle,
et ne prenions grand soin de nous dire, entre nous,
ce que nous entendrons, vous de moi, moi de vous.
Arsinoé.
Ah ! Madame, de vous je ne puis rien entendre :
c’ est en moi que l’ on peut trouver fort à reprendre.
Célimène.
Madame, on peut, je crois, louer et blâmer tout,
et chacun a raison suivant l’ âge ou le goût.
Il est une saison pour la galanterie ;
il en est une aussi propre à la pruderie.
On peut, par politique, en prendre le parti,
quand de nos jeunes ans l’ éclat est amorti :
cela sert à couvrir de fâcheuses disgrâces.
Je ne dis pas qu’ un jour je ne suive vos traces :
l’ âge amènera tout, et ce n’ est pas le temps,
madame, comme on sait, d’ être prude à vingt ans.
Arsinoé.
Certes, vous vous targuez d’ un bien foible avantage,
et vous faites sonner terriblement votre âge.
Ce que de plus que vous on en pourroit avoir
n’ est pas un si grand cas pour s’ en tant prévaloir ;
et je ne sais pourquoi votre âme ainsi s’ emporte,
madame, à me pousser de cette étrange sorte.
Célimène.
Et moi, je ne sais pas, madame, aussi pourquoi
on vous voit, en tous lieux, vous déchaîner sur moi.
Faut-il de vos chagrins, sans cesse, à moi vous prendre ?
Et puis-je mais des soins qu’ on ne va pas vous rendre ?
Si ma personne aux gens inspire de l’ amour,
et si l’ on continue à m’ offrir chaque jour
des voeux que votre coeur peut souhaiter qu’ on m’ ôte,
je n’ y saurois que faire, et ce n’ est pas ma faute :
vous avez le champ libre, et je n’ empêche pas
que pour les attirer vous n’ ayez des appas.
Arsinoé.
Hélas ! Et croyez-vous que l’ on se mette en peine
de ce nombre d’ amants dont vous faites la vaine,
et qu’ il ne nous soit pas fort aisé de juger
à quel prix aujourd’ hui l’ on peut les engager ?
Pensez-vous faire croire, à voir comme tout roule,
que votre seul mérite attire cette foule ?
Qu’ ils ne brûlent pour vous que d’ un honnête amour,
et que pour vos vertus ils vous font tous la cour ?
On ne s’ aveugle point par de vaines défaites,
le monde n’ est point dupe ; et j’ en vois qui son faites
à pouvoir inspirer de tendres sentiments,
qui chez elles pourtant ne fixent point d’ amants ;
et de là nous pouvons tirer des conséquences,
qu’ on n’ acquiert point leurs coeurs sans de grandes avances,
qu’ aucun pour nos beaux yeux n’ est notre soupirant,
et qu’ il faut acheter tous les soins qu’ on nous rend.
Ne vous enflez donc point d’ une si grande gloire
pour les petits brillants d’ une foible victoire ;
et corrigez un peu l’ orgueil de vos appas,
de traiter pour cela les gens de haut en bas.
Si nos yeux envioient les conquêtes des vôtres,
je pense qu’ on pourroit faire comme les autres,
ne se point ménager, et vous faire bien voir
que l’ on a des amants quand on en veut avoir.

4 comments on this post:

UKViewer said...
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Laura,

I don’t claim to do French in any great way, and google translator is rough and ready.

So, can’t really comment on the content, although the phrase, Pot’s calling Kettle black springs to mind!

If we are seeking to guide others, we need to be authentic and not petty or spiteful. Or how can we claim to be good or even wise.

Gossip is poison and a sin.

Lay Anglicana said...
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Thank-you for both comments 🙂

08 November 2012 18:37
08 November 2012 18:20
UKViewer said...
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And in Spanish 🙂

Acto III, escena IV.

Célimène.
¡Ah! ¡Qué feliz destino te trae a este lugar?
Señora, sinceramente, yo te étois en problemas.
Arsinoe.
He llegado a creer que algo que he pensado que tiene.
Célimène.
Oh, Dios mío! Me alegro de verte!
Arsinoe.
Su partida no podía ser aproximadamente.
Célimène.
¿Queremos sentar?
Arsinoe.
No es necesario
señora. La amistad es especialmente divertido
las cosas que se pueden importar más;
y cuando n ‘es el punto de mayor importancia
que los de honor y decencia,
Yo vengo de un anuncio que toca su honor,
testigos de la amistad para ti en mi corazón.
Ayer me étois entre personas de singular virtud,
de donde resultó el discurso sobre el tema;
y no su conducta con sus rugidos,
señora, tuvo la mala suerte de que no alabado.
La multitud de gente que ha visitado,
su galantería, y los sonidos que se excita
más censores nos enteramos de que “habría sido necesario
y más riguroso de lo que n ‘había deseado.
Usted puede pensar que sabía cómo divertirse:
Hice lo que podría ser capaz de defender,
Me disculpé duro de su intención,
y quería ser su fianza alma.
Pero usted sabe que hay cosas en la vida
que no puedo pedir disculpas, aunque no tenemos envidia;
y me vi obligado a permanecer de acuerdo
que el aire que usted faisoit vivir un poco mal,
que prenoit al mundo un rostro desagradable,
que es lamentable que la historia en todas partes usted don ‘t hacer,
y si desea que todo su comportamiento
por lo pourroient dar lugar a malos juicios.
No es que yo lo crea, básicamente, la honestidad lesionado:
Dios me preserve de haber pensado!
Pero la sombra de la delincuencia es fácilmente da fe
y no es suficiente para vivir bien por sí mismo.
Señora, creo que el alma demasiado razonable
no debe tomar este consejo muy rentable,
y el atributo que los movimientos secretos
un celo que m ‘se une a sus intereses.
Célimène.
Señora, tengo un montón de gracias a:
m tal notificación obliga, y tomar distancia de lo malo,
¡No pretendemos reconocer, en este momento, favor,
también mediante un anuncio que toca su honor;
como te veo y te muestro mi amigo
en m ‘aprender los sonidos de mi parte que publicamos
Quiero seguir a mi vez, un ejemplo tan dulce
para avisarle de que se dice de ti.
En un lugar, el otro día, cuando yo estaba haciendo visita
He encontrado algunas personas un mérito muy raro,
que, al hablar del verdadero cuidado de un alma que vive bien,
caída hizo a usted, señora, mantenimiento.
Aquí, su mojigatería y sus estallidos de celo
no fueron citadas como un modelo muy bueno:
la asignación de un grave externo
sus palabras de sabiduría y honor eterno,
sus minas y sus gritos en las sombras de la indecencia
que una palabra puede tener inocencia ambigua,
esta altura estima en la que estás,
y esos ojos que se apiade de todos
sus lecciones frecuentes y sus agrias censuras
en las cosas que son puras e inocentes,
todo esto, si se me permite hablar con franqueza,
madame, fue culpado por el sentido común.
lo bueno, dijeron, la mina modesto
y sabia para que niega todo?
Es bueno orar punto exacto;
pero es mejor que su pueblo, y les pagan punto.
En todos los lugares se extiende un celo devoto;
pero es blanca y quiere aparecer hermosa.
Ella hace pinturas cubrir la desnudez;
pero no tiene amor por la realidad.
Para mí, tomé cada uno contra su defensa,
fuerte y les aseguró que “fue la calumnia;
pero todos los sentimientos luchó mío;
y su conclusión fue que usted haría bien
tener menos cuidado de las acciones de otros,
y le pones un poco más de ti;
que hay que mirarse a sí mismo desde hace mucho tiempo,
antes de pensar en condenar a la gente;
que debemos poner el peso de una vida ejemplar
correcciones en ese otro quiere hacer;
y que es mejor dependencia encor ‘s, en caso necesario,
a los que cometieron el cuidado cielo.
Señora, yo te creo también muy razonable
no debe tomar este consejo muy rentable,
y el atributo que los movimientos secretos
un celo que m ‘se une a sus intereses.
Arsinoe.
lo que es tomar un tema,
No estoy esperando esta réplica,
señora, y yo veo con esto que era de amargura,
mi sincera opinión que le ha hecho daño en el corazón.
Célimène.
Por el contrario, señora, y si era sabio
estos seroient opiniones mutuo poner en uso:
que destruiría lo que la negociación de buena fe,
este gran engaño donde todo el mundo es por sí mismo.
Sostuvo que a usted que con el mismo celo
seguimos fielmente esta oficina,
y tener mucho cuidado de decirnos, entre nosotros,
lo que oyes, yo, yo te.
Arsinoe.
¡Ah! Señora, no puedo hacer nada de lo que escuchamos:
c está en mí que usted puede encontrar difícil de aceptar.
Célimène.
Señora, ¿puede, en mi opinión, la alabanza y la culpa todo
y cada razón según la edad o el gusto.
Es una temporada de galantería;
también es propio de mojigatería.
Puede, por la política, revestimiento,
cuando nuestros años jóvenes, el brillo se deprecian:
sirve para cubrir accidentes desafortunados.
No estoy diciendo que algún día seguir sus pasos:
edad traerá todo, y no hay tiempo
señora, como usted sabe, para ser una mojigata a veinte años.
Arsinoe.
Sin duda, usted se enorgullece una ventaja muy débil
y usted suena terriblemente su edad.
Eso es más de lo que tienes en pourroit
no es un buen caso para s ‘como prevalecer;
y yo no sé por qué tu alma y prevalece s
señora, que me empujaba de este modo extraño.
Célimène.
Y yo no lo sé, señora, ¿por qué
usted ve, donde quiera que desatar en mí.
Si sus dolores sin cesar para que me llevara?
Y que me importa, pero eso no va a hacer?
Si mi persona inspira amor,
y si continuamos ofreciendo m cada día
deseos de que su corazón puede desear que m ‘quita,
Yo saurois don ‘lo que hacer, y no es mi culpa
que tiene acceso completo, y no impide
como para atraer Usted don tiene el encanto.
Arsinoe.
¡Ay! ¿Y usted cree que sólo hay que poner en
este número de amantes que le vanas,
y que no lo hace muy fácil juzgar
¿a qué precio hoy se puede participar?
¿Cree usted, para ver cómo todo funciona,
su mérito solo atrae a esta gente?
El hecho de que no se queman para usted que un amor sincero
por sus virtudes y que van a hacer todo el patio?
Esto no es el punto ciego de éxito derrotas
No, el mundo no es engañado, y No veo que el hecho
poder de inspirar sentimientos de ternura,
Sin embargo, ¿quién de ellos no fijan los amantes de punto;
ya partir de ahí podemos sacar conclusiones,
que don ‘adquiere el desarrollo de sus corazones sin grandes avances
que no n para los ojos hermosos es nuestro suspiro,
y que usted tiene que comprar todo el cuidado que hacemos.
¿Se hinchan tanta gloria tanto punto
por destellos de una victoria débil;
y corregir un poco el orgullo de tus encantos,
tratar por qué la gente arriba y abajo.
Si nuestros ojos envioient conquistas de los suyos,
Creo que podríamos ser como los demás,
Ningún artículo del hogar, y se ve bien
que fueron amantes cuando ella quiere.

08 November 2012 18:23
Joyce said...
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I love Moliere’s way of putting words in women’s mouths. I’m afraid I read this so long ago I can’t remember a lot about it. Perhaps I was 16 too.I do remember, most uncharacterisically for me, writing something in the margin somewhere. I put ‘Tarty piece really.’
I must have been a budding prude in those days.
It’s true what you say about gossip, Ernie, and the need to be careful when giving guidance.

08 November 2012 20:52

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